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LISINOPRIL/HYDROCHLOROTHIAZIDE ACTAVIS 20 mg/12,5 mg cp séc

LISINOPRIL/HYDROCHLOROTHIAZIDE ACTAVIS 20 mg/12,5 mg cp séc





FORME


comprimé sécable

COMPOSITION

par 1 comprimé
lisinopril dihydrate
  Exprimé en lisinopril anhydre20 mg
hydrochlorothiazide12,5 mg
Excipients : phosphate dicalcique dihydrate, mannitol, amidon de maïs modifié, croscarmellose sel de Na, magnésium stéarate.

INDICATIONS

Traitement de l'hypertension artérielle en cas d'échec thérapeutique d'une monothérapie par un inhibiteur de l'enzyme de conversion.


POSOLOGIE et MODE D'ADMINISTRATION

Chaque comprimé contient 20 mg de lisinopril et 12,5 mg d'hydrochlorothiazide.
- Fonction rénale normale :
La posologie habituelle est d'un comprimé en une prise quotidienne à heure régulière.
- Insuffisance rénale :
. clairance de la créatinine entre 30 et 80 ml/min : la posologie initiale habituelle est d'un demi-comprimé en une prise quotidienne.
Chez ces malades, la pratique médicale normale comprend un contrôle périodique du potassium et de la créatinine, par exemple tous les deux mois en période de stabilité thérapeutique.
. clairance de la créatinine < 30 ml/min ou créatininémie > 250 µmol/l (cf Contre-indications).

CONTRE-INDICATIONS

Absolue(s) :
  • Hypersensibilité aux inhibiteurs de l'enzyme de conversion
  • Oedème de Quincke lié à la prise d'un inhibiteur de l'enzyme de conversion, antécédent (d')
  • Oedème angioneurotique héréditaire
  • Grossesse, 6 derniers mois (de la)
  • Hypersensibilité aux sulfamides
  • Hypersensibilité aux dérivés thiazidiques
  • Insuffisance rénale sévère : clairance de la créatinine < 30 ml/min
  • Encéphalopathie hépatique
  • Allaitement
Relative(s) :
  • Sténose artérielle rénale bilatérale
  • Sténose artérielle rénale sur rein unique
  • Hyperkaliémie
  • Grossesse, 3 premiers mois (de la)

MISES EN GARDE et PRECAUTIONS D'EMPLOI

  • Risque de toux
    Lié au lisinopril :
    Une toux sèche a été rapportée avec l'utilisation des inhibiteurs de l'enzyme de conversion.
    Elle est caractérisée par sa persistance ainsi que par sa disparition à l'arrêt du traitement.
    L'étiologie iatrogénique doit être envisagée en présence de ce symptôme. Dans le cas où la prescription d'un inhibiteur de l'enzyme de conversion s'avère indispensable, la poursuite du traitement peut être envisagée.
  • Patient traité à posologie élevée
    Lié au lisinopril :
    Des inhibiteurs de l'enzyme de conversion ont exceptionnellement entraîné une agranulocytose et/ou une dépression médullaire lorsqu'ils étaient administrés à doses élevées.
    Le strict respect des posologies préconisées semble constituer la meilleure prévention de la survenue de ces événements. Toutefois, si un inhibiteur de l'enzyme de conversion doit être administré chez ce type de patients, le rapport bénéfice/risque sera soigneusement mesuré.
  • Insuffisance rénale
    --- Liée au lisinopril :
    - Des inhibiteurs de l'enzyme de conversion ont exceptionnellement entraîné une agranulocytose et/ou une dépression médullaire lorsqu'ils étaient administrés chez des patients insuffisants rénaux associant des maladies de système (collagénoses telles que lupus érythémateux disséminé ou sclérodermie), avec un traitement immunosuppresseur et/ou potentiellement leucopéniant.
    Le strict respect des posologies préconisées semble constituer la meilleure prévention de la survenue de ces événements. Toutefois, si un inhibiteur de l'enzyme de conversion doit être administré chez ce type de patients, le rapport bénéfice/risque sera soigneusement mesuré.
    - En cas d'insuffisance rénale (définie par une clairance de la créatinine inférieure ou égale à 80 ml/min), le traitement est initié par une posologie initiale faible, puis celle-ci est éventuellement ajustée en fonction de la réponse thérapeutique.
    Chez ces malades et chez ceux atteints de néphropathie glomérulaire, la pratique médicale normale comprend un contrôle périodique du potassium et de la créatinine (cf Posologie/Mode d'administration).
    --- Liée à l'association :
    - Chez certains hypertendus sans lésion rénale préexistante et dont le bilan biologique témoigne d'une insuffisance rénale fonctionnelle, le traitement sera interrompu et éventuellement repris soit à posologie réduite soit avec un seul des constituants.
    - L'association d'un inhibiteur de l'enzyme de conversion à un diurétique hypokaliémiant n'exclut pas la survenue d'une hypokaliémie, notamment chez les patients diabétiques ou insuffisants rénaux.
    Un contrôle régulier du potassium plasmatique sera effectué.
  • Connectivite
    Liée au lisinopril :
    Des inhibiteurs de l'enzyme de conversion ont exceptionnellement entraîné une agranulocytose et/ou une dépression médullaire lorsqu'ils étaient administrés chez des patients insuffisants rénaux associant des maladies de système (collagénoses telles que lupus érythémateux disséminé ou sclérodermie), avec un traitement immunosuppresseur et/ou potentiellement leucopéniant.
    Le strict respect des posologies préconisées semble constituer la meilleure prévention de la survenue de ces événements. Toutefois, si un inhibiteur de l'enzyme de conversion doit être administré chez ce type de patients, le rapport bénéfice/risque sera soigneusement mesuré.
  • Déficit immunitaire
    Lié au lisinopril :
    Des inhibiteurs de l'enzyme de conversion ont exceptionnellement entraîné une agranulocytose et/ou une dépression médullaire lorsqu'ils étaient administrés chez des patients insuffisants rénaux associant des maladies de système (collagénoses telles que lupus érythémateux disséminé ou sclérodermie), avec un traitement immunosuppresseur et/ou potentiellement leucopéniant.
    Le strict respect des posologies préconisées semble constituer la meilleure prévention de la survenue de ces événements. Toutefois, si un inhibiteur de l'enzyme de conversion doit être administré chez ce type de patients, le rapport bénéfice/risque sera soigneusement mesuré.
  • Risque d'oedème de Quincke
    Lié au lisinopril :
    Un angio-oedème de la face, des extrémités, des lèvres, de la langue, de la glotte et/ou du larynx a été rarement signalé chez les patients traités par un inhibiteur de l'enzyme de conversion, lisinopril inclus. Dans de tels cas, le lisinopril doit être arrêté immédiatement et le patient surveillé jusqu'à disparition de l'oedème.
    Lorsque l'oedème n'intéresse que la face et les lèvres, l'évolution est en général régressive sans traitement, bien que les antihistaminiques aient été utilisés pour soulager les symptômes.
    L'angio-oedème associé à un oedème laryngé peut être fatal. Lorsqu'il y a atteinte de la langue, de la glotte ou du larynx, pouvant entraîner une obstruction des voies aériennes, une solution d'adrénaline sous-cutanée à 1/1000 (0,3 ml à 0,5 ml) doit être administrée rapidement et les autres traitements appropriés visant à assurer la liberté des voies aériennes doivent être appliqués.
    La prescription d'un inhibiteur de l'enzyme de conversion ne doit plus être envisagée par la suite chez ces patients (cf Contre-indications).
    Les patients ayant un antécédent d'oedème de Quincke non lié à la prise d'un inhibiteur de l'enzyme de conversion ont un risque accru d'oedème de Quincke sous inhibiteur de l'enzyme de conversion.
    II a été observé un taux plus élevé de survenue d'angio-oedème chez les patients de population noire traités par IEC comparativement aux autres populations de patients.
  • Antécédent d'oedème de Quincke
    Lié au lisinopril :
    Un angio-oedème de la face, des extrémités, des lèvres, de la langue, de la glotte et/ou du larynx a été rarement signalé chez les patients traités par un inhibiteur de l'enzyme de conversion, lisinopril inclus. Dans de tels cas, le lisinopril doit être arrêté immédiatement et le patient surveillé jusqu'à disparition de l'oedème.
    Lorsque l'oedème n'intéresse que la face et les lèvres, l'évolution est en général régressive sans traitement, bien que les antihistaminiques aient été utilisés pour soulager les symptômes.
    L'angio-oedème associé à un oedème laryngé peut être fatal. Lorsqu'il y a atteinte de la langue, de la glotte ou du larynx, pouvant entraîner une obstruction des voies aériennes, une solution d'adrénaline sous-cutanée à 1/1000 (0,3 ml à 0,5 ml) doit être administrée rapidement et les autres traitements appropriés visant à assurer la liberté des voies aériennes doivent être appliqués.
    La prescription d'un inhibiteur de l'enzyme de conversion ne doit plus être envisagée par la suite chez ces patients (cf Contre-indications).
    Les patients ayant un antécédent d'oedème de Quincke non lié à la prise d'un inhibiteur de l'enzyme de conversion ont un risque accru d'oedème de Quincke sous inhibiteur de l'enzyme de conversion.
  • Sujet noir
    Lié au lisinopril :
    Un angio-oedème de la face, des extrémités, des lèvres, de la langue, de la glotte et/ou du larynx a été rarement signalé chez les patients traités par un inhibiteur de l'enzyme de conversion, lisinopril inclus. Dans de tels cas, le lisinopril doit être arrêté immédiatement et le patient surveillé jusqu'à disparition de l'oedème.
    Lorsque l'oedème n'intéresse que la face et les lèvres, l'évolution est en général régressive sans traitement, bien que les antihistaminiques aient été utilisés pour soulager les symptômes.
    L'angio-oedème associé à un oedème laryngé peut être fatal. Lorsqu'il y a atteinte de la langue, de la glotte ou du larynx, pouvant entraîner une obstruction des voies aériennes, une solution d'adrénaline sous-cutanée à 1/1000 (0,3 ml à 0,5 ml) doit être administrée rapidement et les autres traitements appropriés visant à assurer la liberté des voies aériennes doivent être appliqués.
    La prescription d'un inhibiteur de l'enzyme de conversion ne doit plus être envisagée par la suite chez ces patients (cf Contre-indications).
    Les patients ayant un antécédent d'oedème de Quincke non lié à la prise d'un inhibiteur de l'enzyme de conversion ont un risque accru d'oedème de Quincke sous inhibiteur de l'enzyme de conversion.
    II a été observé un taux plus élevé de survenue d'angio-oedème chez les patients de population noire traités par IEC comparativement aux autres populations de patients.
  • Patient en hémodialyse
    Lié au lisinopril :
    - Des réactions anaphylactoïdes (oedèmes de la langue et des lèvres avec dyspnée et baisse tensionnelle) ont également été observées au cours d'hémodialyses utilisant des membranes de haute perméabilité (polyacrylonitrile) chez des patients traités par inhibiteurs de l'enzyme de conversion. II est recommandé d'éviter cette association.
    - Une anémie avec baisse du taux d'hémoglobine a été mise en évidence chez des patients hémodialysés, baisse d'autant plus importante que les valeurs de départ sont élevées. Cet effet ne semble pas dose-dépendant mais serait lié au mécanisme d'action des inhibiteurs de l'enzyme de conversion.
    Cette baisse est modérée, survient dans un délai de 1 à 6 mois puis reste stable. Elle est réversible à l'arrêt du traitement. Celui-ci peut être poursuivi chez ce type de patients, en pratiquant un contrôle hématologique régulier.
  • Hépatopathie
    Liée a l'hydrochlorothiazide :
    En cas d'atteinte hépatique, les diurétiques thiazidiques et apparentés peuvent induire une encéphalopathie hépatique. Dans ce cas, l'administration du diurétique doit être immédiatement interrompue.
  • Enfant de moins de 15 ans
    Lié au lisinopril :
    L'efficacité et la tolérance du lisinopril chez l'enfant n'ayant pas été établies, son utilisation chez l'enfant est déconseillée.
  • Déplétion hydrosodée
    Liée au lisinopril :
    Une stimulation importante du système rénine-angiotensine-aldostérone est observée en particulier au cours des déplétions hydrosodées importantes (régime désodé strict ou traitement diurétique prolongé).
    Le blocage de ce système par un inhibiteur de l'enzyme de conversion peut alors provoquer, surtout lors de la première prise et au cours des deux premières semaines de traitement, une brusque chute tensionnelle et/ou, quoique rarement et dans un délai plus variable, une élévation de la créatinine plasmatique traduisant une insuffisance rénale fonctionneIle parfois aiguë.
    Dans tous ces cas de figure, la mise en route du traitement doit alors être progressive (cf Posologie/Mode d'administration).
    Chez les patients à risque majoré d'hypotension symptomatique, la mise en route du traitement et l'adaptation posologique doivent être effectuées sous surveillance médicale attentive.
  • Sténose artérielle rénale
    Liée au lisinopril :
    Une stimulation importante du système rénine-angiotensine-aldostérone est observée en particulier chez les patients à pression artérielle initialement basse, en cas de sténose artérielle rénale.
    Le blocage de ce système par un inhibiteur de l'enzyme de conversion peut alors provoquer, surtout lors de la première prise et au cours des deux premières semaines de traitement, une brusque chute tensionnelle et/ou, quoique rarement et dans un délai plus variable, une élévation de la créatinine plasmatique traduisant une insuffisance rénale fonctionneIle parfois aiguë.
    Dans tous ces cas de figure, la mise en route du traitement doit alors être progressive (cf Posologie/Mode d'administration).
    Chez les patients à risque majoré d'hypotension symptomatique, la mise en route du traitement et l'adaptation posologique doivent être effectuées sous surveillance médicale attentive.
  • Insuffisance cardiaque congestive
    Liée au lisinopril :
    Une stimulation importante du système rénine-angiotensine-aldostérone est observée en particulier en cas d'insuffisance cardiaque congestive.
    Le blocage de ce système par un inhibiteur de l'enzyme de conversion peut alors provoquer, surtout lors de la première prise et au cours des deux premières semaines de traitement, une brusque chute tensionnelle et/ou, quoique rarement et dans un délai plus variable, une élévation de la créatinine plasmatique traduisant une insuffisance rénale fonctionneIle parfois aiguë.
    Dans tous ces cas de figure, la mise en route du traitement doit alors être progressive (cf Posologie/Mode d'administration).
    Chez les patients à risque majoré d'hypotension symptomatique, la mise en route du traitement et l'adaptation posologique doivent être effectuées sous surveillance médicale attentive.
  • Cirrhose hépatique décompensée
    - Liée au lisinopril :
    Une stimulation importante du système rénine-angiotensine-aldostérone est observée en particulier au cours de cirrhose oedémato-ascitique.
    Le blocage de ce système par un inhibiteur de l'enzyme de conversion peut alors provoquer, surtout lors de la première prise et au cours des deux premières semaines de traitement, une brusque chute tensionnelle et/ou, quoique rarement et dans un délai plus variable, une élévation de la créatinine plasmatique traduisant une insuffisance rénale fonctionneIle parfois aiguë.
    Dans tous ces cas de figure, la mise en route du traitement doit alors être progressive (cf Posologie/Mode d'administration).
    Chez les patients à risque majoré d'hypotension symptomatique, la mise en route du traitement et l'adaptation posologique doivent être effectuées sous surveillance médicale attentive.
    - Liée à l'hydrochlorothiazide :
    La déplétion potassique avec hypokaliémie constitue le risque majeur des diurétiques thiazidiques et apparentés. Le risque de survenue d'une hypokaliémie (< 3,5 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque représentées par les cirrhotiques avec oedèmes et ascite. En effet, dans ce cas, I'hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de troubles du rythme.
    Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle du potassium plasmatique doit être effectué au cours de la semaine qui suit la mise en route du traitement.
  • Insuffisance coronarienne
    --- Liée au lisinopril :
    - Une stimulation importante du système rénine-angiotensine-aldostérone est observée en particulier au cours des déplétions hydrosodées importantes (régime désodé strict ou traitement diurétique prolongé), chez les patients à pression artérielle initialement basse, en cas de sténose artérielle rénale, d'insuffisance cardiaque congestive ou de cirrhose oedémato-ascitique.
    Le blocage de ce système par un inhibiteur de l'enzyme de conversion peut alors provoquer, surtout lors de la première prise et au cours des deux premières semaines de traitement, une brusque chute tensionnelle et/ou, quoique rarement et dans un délai plus variable, une élévation de la créatinine plasmatique traduisant une insuffisance rénale fonctionneIle parfois aiguë.
    Un risque similaire existe chez les patients ayant une cardiopathie ischémique, chez lesquels une diminution excessive de la pression artérielle pourrait entraîner un infarctus du myocarde ou un accident vasculaire cérébral.
    Dans tous ces cas de figure, la mise en route du traitement doit alors être progressive (cf Posologie/Mode d'administration).
    Chez les patients à risque majoré d'hypotension symptomatique, la mise en route du traitement et l'adaptation posologique doivent être effectuées sous surveillance médicale attentive.
    - Puisque le risque d'hypotension existe chez tous les patients, on sera particulièrement prudent chez ceux ayant une cardiopathie ischémique, en débutant le traitement à faible posologie.
    - Ne pas interrompre un traitement par bêta-bloquant chez un hypertendu atteint d'insuffisance coronarienne : I'IEC sera ajouté au bêta-bloquant.
    --- Liée à l'hydrochlorothiazide :
    - La déplétion potassique avec hypokaliémie constitue le risque majeur des diurétiques thiazidiques et apparentés. Le risque de survenue d'une hypokaliémie (< 3,5 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque représentées par les coronariens. En effet, dans ce cas, I'hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de troubles du rythme.
    Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle du potassium plasmatique doit être effectué au cours de la semaine qui suit la mise en route du traitement.
  • Insuffisance vasculaire cérébrale
    Liée au lisinopril :
    - Une stimulation importante du système rénine-angiotensine-aldostérone est observée en particulier au cours des déplétions hydrosodées importantes (régime désodé strict ou traitement diurétique prolongé), chez les patients à pression artérielle initialement basse, en cas de sténose artérielle rénale, d'insuffisance cardiaque congestive ou de cirrhose oedémato-ascitique.
    Le blocage de ce système par un inhibiteur de l'enzyme de conversion peut alors provoquer, surtout lors de la première prise et au cours des deux premières semaines de traitement, une brusque chute tensionnelle et/ou, quoique rarement et dans un délai plus variable, une élévation de la créatinine plasmatique traduisant une insuffisance rénale fonctionneIle parfois aiguë.
    Un risque similaire existe chez les patients ayant une insuffisance circulatoire cérébrale, chez lesquels une diminution excessive de la pression artérielle pourrait entraîner un infarctus du myocarde ou un accident vasculaire cérébral.
    Dans tous ces cas de figure, la mise en route du traitement doit alors être progressive (cf Posologie/Mode d'administration).
    Chez les patients à risque majoré d'hypotension symptomatique, la mise en route du traitement et l'adaptation posologique doivent être effectuées sous surveillance médicale attentive.
    - Puisque le risque d'hypotension existe chez tous les patients, on sera particulièrement prudent chez ceux ayant une insuffisance circulatoire cérébrale, en débutant le traitement à faible posologie.
  • Rétrécissement aortique
    Lié au lisinopril :
    Comme avec les autres vasodilatateurs, le lisinopril doit être administré avec précaution chez les patients avec une sténose de l'aorte.
  • Cardiomyopathie hypertrophique
    Liée au lisinopril :
    Comme avec les autres vasodilatateurs, le lisinopril doit être administré avec précaution chez les patients avec une myocardiopathie hypertrophique.
  • Néphropathie glomérulaire
    Liée au lisinopril :
    En cas d'insuffisance rénale (définie par une clairance de la créatinine inférieure ou égale à 80 ml/min), le traitement est initié par une posologie initiale faible, puis celle-ci est éventuellement ajustée en fonction de la réponse thérapeutique.
    Chez les malades atteints de néphropathie glomérulaire, la pratique médicale normale comprend un contrôle périodique du potassium et de la créatinine (cf Posologie/Mode d'administration).
  • Hypertension rénovasculaire
    Liée au lisinopril :
    Le traitement de l'hypertension artérielle renovasculaire est la revascularisation.
    Néanmoins, les inhibiteurs de l'enzyme de conversion peuvent être utiles aux malades présentant une hypertension rénovasculaire dans l'attente de l'intervention correctrice ou lorsque cette intervention n'est pas possible.
    Le traitement doit alors être institué avec une dose faible et une surveillance de la fonction rénale et de la kaliémie doit être exercée, certains patients ayant développé une insuffisance rénale fonctionnelle, réversible à l'arrêt du traitement.
  • Insuffisance cardiaque sévère
    Liée au lisinopril :
    Chez les patients en insuffisance cardiaque sévère (stade IV), l'instauration du traitement se fera sous surveillance médicale avec une posologie initiale réduite.
  • Diabète insulinodépendant
    Lié au lisinopril :
    Chez les patients diabétiques insulino-dépendants (tendance spontanée à I'hyperkaliémie), l'instauration du traitement se fera sous surveillance médicale avec une posologie initiale réduite.
  • Transplantation rénale
    Lié au lisinopril :
    Une anémie avec baisse du taux d'hémoglobine a été mise en évidence chez des patients transplantés rénaux, baisse d'autant plus importante que les valeurs de départ sont élevées. Cet effet ne semble pas dose-dépendant mais serait lié au mécanisme d'action des inhibiteurs de l'enzyme de conversion.
    Cette baisse est modérée, survient dans un délai de 1 à 6 mois puis reste stable. Elle est réversible à l'arrêt du traitement. Celui-ci peut être poursuivi chez ce type de patients, en pratiquant un contrôle hématologique régulier.
  • Intervention chirurgicale
    Liée au lisinopril :
    En cas d'anesthésie, et plus encore lorsque l'anesthésie est pratiquée avec des agents à potentiel hypotenseur, les inhibiteurs de l'enzyme de conversion sont à l'origine d'une hypotension.
    L'interruption thérapeutique, lorsqu'elle est possible, est donc recommandée l'avant-veille de l'intervention pour les inhibiteurs de l'enzyme de conversion à durée d'action longue, comme le lisinopril.
  • Anesthésie
    Liée au lisinopril :
    En cas d'anesthésie, et plus encore lorsque l'anesthésie est pratiquée avec des agents à potentiel hypotenseur, les inhibiteurs de l'enzyme de conversion sont à l'origine d'une hypotension.
    L'interruption thérapeutique, lorsqu'elle est possible, est donc recommandée l'avant-veille de l'intervention pour les inhibiteurs de l'enzyme de conversion à durée d'action longue, comme le lisinopril.
  • Sujet âgé
    Lié à l'hydrochlorothiazide :
    - La natrémie doit être contrôlée avant la mise en route du traitement, puis à intervalles réguliers par la suite.
    Tout traitement diurétique peut en effet provoquer une hyponatrémie, aux conséquences parfois graves. La baisse de la natrémie pouvant être initialement asymptomatique, un contrôle régulier est donc indispensable et doit être encore plus fréquent dans les populations à risque représentées par les sujets âgés, a fortiori dénutris (cf Effets secondaires et Surdosage).
    - La déplétion potassique avec hypokaliémie constitue le risque majeur des diurétiques thiazidiques et apparentés. Le risque de survenue d'une hypokaliémie (< 3,5 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque représentées par les sujets âgés et/ou dénutris et/ou polymédiqués. En effet, dans ce cas, I'hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de troubles du rythme.
    Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle du potassium plasmatique doit être effectué au cours de la semaine qui suit la mise en route du traitement.
    - Les diurétiques thiazidiques ne sont pleinement efficaces que lorsque la fonction rénale est normale ou peu altérée (évaluée par exemple par le calcul de la clairance de la créatinine à partir de la créatininémie). Chez le sujet âgé, la valeur de la clairance de la créatinine doit être réajustée en fonction de l'âge, du poids et du sexe du patient, selon la formule de Cockroft, par exemple :
    CIcr = (140 - âge) x poids/0,814 x créatininémie
    (avec l'âge exprimé en années, le poids en kg, la créatininémie en µmol/l).
    Cette formule est valable pour les sujets âgés de sexe masculin, et doit être corrigée pour les femmes en multipliant le résultat par 0,85.
    L'hypovolémie, secondaire à la perte d'eau et de sodium, induite par le diurétique en début de traitement, entraîne une réduction de la filtration glomérulaire. II peut en résulter une augmentation de l'urée sanguine et de la créatininémie.
    Cette insuffisance rénale fonctionnelle transitoire peut aggraver une insuffisance rénale préexistante.
  • Sujet dénutri
    Lié à l'hydrochlorothiazide :
    - La natrémie doit être contrôlée avant la mise en route du traitement, puis à intervalles réguliers par la suite.
    Tout traitement diurétique peut en effet provoquer une hyponatrémie, aux conséquences parfois graves. La baisse de la natrémie pouvant être initialement asymptomatique, un contrôle régulier est donc indispensable et doit être encore plus fréquent dans les populations à risque représentées par les sujets âgés, a fortiori dénutris (cf Effets secondaires et Surdosage).
    - La déplétion potassique avec hypokaliémie constitue le risque majeur des diurétiques thiazidiques et apparentés. Le risque de survenue d'une hypokaliémie (< 3,5 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque représentées par les sujets âgés et/ou dénutris et/ou polymédiqués. En effet, dans ce cas, I'hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de troubles du rythme.
    Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle du potassium plasmatique doit être effectué au cours de la semaine qui suit la mise en route du traitement.
  • Cirrhose
    Liée à l'hydrochlorothiazide :
    La natrémie doit être contrôlée avant la mise en route du traitement, puis à intervalles réguliers par la suite.
    Tout traitement diurétique peut en effet provoquer une hyponatrémie, aux conséquences parfois graves. La baisse de la natrémie pouvant être initialement asymptomatique, un contrôle régulier est donc indispensable et doit être encore plus fréquent dans les populations à risque représentées par les cirrhotiques (cf Effets secondaires et Surdosage).
  • Patient polymédiqué
    Lié à l'hydrochlorothiazide :
    La déplétion potassique avec hypokaliémie constitue le risque majeur des diurétiques thiazidiques et apparentés. Le risque de survenue d'une hypokaliémie (< 3,5 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque représentées par les sujets âgés et/ou dénutris et/ou polymédiqués. En effet, dans ce cas, I'hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de troubles du rythme.
    Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle du potassium plasmatique doit être effectué au cours de la semaine qui suit la mise en route du traitement.
  • Insuffisance cardiaque
    Liée à l'hydrochlorothiazide :
    La déplétion potassique avec hypokaliémie constitue le risque majeur des diurétiques thiazidiques et apparentés. Le risque de survenue d'une hypokaliémie (< 3,5 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque représentées par les insuffisants cardiaques. En effet, dans ce cas, I'hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de troubles du rythme.
    Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle du potassium plasmatique doit être effectué au cours de la semaine qui suit la mise en route du traitement.
  • Allongement de l'espace QT
    Lié à l'hydrochlorothiazide :
    La déplétion potassique avec hypokaliémie constitue le risque majeur des diurétiques thiazidiques et apparentés. Le risque de survenue d'une hypokaliémie (< 3,5 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque représentées notamment par les patients présentant un espace QT long à I'ECG sont également à risque, que l'origine en soit congénitale ou médicamenteuse. L'hypokaliémie (de même que la bradycardie) agit alors comme un facteur favorisant la survenue de troubles du rythme sévères, en particulier des torsades de pointes, potentiellement fatales.
    Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle du potassium plasmatique doit être effectué au cours de la semaine qui suit la mise en route du traitement.
  • Risque d'hypercalcémie
    Lié à l'hydrochlorothiazide :
    Les diurétiques thiazidiques et apparentés peuvent diminuer l'excrétion urinaire du calcium et entraîner une augmentation légère et souvent transitoire de la calcémie.
    Une hypercalcémie franche peut être en rapport avec une hyperparathyroïdie méconnue. Interrompre le traitement avant d'explorer la fonction parathyroïdienne.
  • Diabète
    - Lié à l'hydrochlorothiazide :
    L'effet hyperglycémiant des diurétiques thiazidiques et apparentés est modeste. Néanmoins, chez le diabétique, le contrôle de la glycémie doit être systématique.
    - Lié à l'association :
    L'association d'un inhibiteur de l'enzyme de conversion à un diurétique hypokaliémiant n'exclut pas la survenue d'une hypokaliémie, notamment chez les patients diabétiques ou insuffisants rénaux.
    Un contrôle régulier du potassium plasmatique sera effectué.
  • Hyperuricémie
    Liée à l'hydrochlorothiazide :
    La déplétion hydrosodée induite par les thiazidiques réduit l'élimination urinaire d'acide urique. Chez les patients hyperuricémiques, la tendance aux accès de goutte peut être augmentée : la posologie sera adaptée en fonction des concentrations plasmatiques d'acide urique.
  • Sportif
    Lié à l'hydrochlorothiazide :
    L'attention des sportifs est attirée sur le fait que cette spécialité contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage.
  • Surveillance de l'ionogramme plasmatique pendant le traitement
    Liée à l'association :
    Les signes cliniques de déséquilibre hydroélectrolytique, pouvant survenir à l'occasion d'un épisode intercurrent de diarrhée ou de vomissements, seront systématiquement recherchés.
    Une surveillance régulière des électrolytes plasmatiques sera effectuée chez de tels patients.
    Une hypotension importante peut nécessiter la mise en place d'une perfusion intraveineuse de sérum salé isotonique.
    Une hypotension transitoire n'est pas une contre-indication à la poursuite du traitement.
    Après rétablissement d'une volémie et d'une pression artérielle satisfaisante, il est possible de reprendre le traitement soit à posologie réduite soit avec un seul des constituants.
  • Risque d'hypotension artérielle
    Lié à l'association :
    Les signes cliniques de déséquilibre hydroélectrolytique, pouvant survenir à l'occasion d'un épisode intercurrent de diarrhée ou de vomissements, seront systématiquement recherchés.
    Une surveillance régulière des électrolytes plasmatiques sera effectuée chez de tels patients.
    Une hypotension importante peut nécessiter la mise en place d'une perfusion intraveineuse de sérum salé isotonique.
    Une hypotension transitoire n'est pas une contre-indication à la poursuite du traitement.
    Après rétablissement d'une volémie et d'une pression artérielle satisfaisante, il est possible de reprendre le traitement soit à posologie réduite soit avec un seul des constituants.
  • Risque d'hypokaliémie
    Lié à l'association :
    L'association d'un inhibiteur de l'enzyme de conversion à un diurétique hypokaliémiant n'exclut pas la survenue d'une hypokaliémie, notamment chez les patients diabétiques ou insuffisants rénaux.
    Un contrôle régulier du potassium plasmatique sera effectué.
  • Surveillance de la kaliémie pendant le traitement
    Lié à l'association :
    L'association d'un inhibiteur de l'enzyme de conversion à un diurétique hypokaliémiant n'exclut pas la survenue d'une hypokaliémie, notamment chez les patients diabétiques ou insuffisants rénaux.
    Un contrôle régulier du potassium plasmatique sera effectué.
  • Administrer indépendamment de la prise des repas
    L'absorption n'est pas influencée par la prise d'aliments.
  • Interaction phytothérapique : séné
    - Niveau de gravité :
    Précaution d'emploi
    - Nature du risque :
    Risque majoré d'hypokaliémie.
    - Conduite à tenir :
    Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.
  • Interaction phytothérapique : ricin
    - Niveau de gravité :
    Précaution d'emploi
    - Nature du risque :
    Risque majoré d'hypokaliémie.
    - Conduite à tenir :
    Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.
  • Interaction phytothérapique : rhubarbe
    - Niveau de gravité :
    Précaution d'emploi
    - Nature du risque :
    Risque majoré d'hypokaliémie.
    - Conduite à tenir :
    Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.
  • Interaction phytothérapique : cascara
    - Niveau de gravité :
    Précaution d'emploi
    - Nature du risque :
    Risque majoré d'hypokaliémie.
    - Conduite à tenir :
    Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.
  • Interaction phytothérapique : bourdaine
    - Niveau de gravité :
    Précaution d'emploi
    - Nature du risque :
    Risque majoré d'hypokaliémie.
    - Conduite à tenir :
    Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.
  • Interaction phytothérapique : boldo
    - Niveau de gravité :
    Précaution d'emploi
    - Nature du risque :
    Risque majoré d'hypokaliémie.
    - Conduite à tenir :
    Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.
  • Administrer chaque jour à la même heure
    La posologie habituelle est d'un comprimé en une prise quotidienne à heure régulière.

IAM : INTERACTIONS MEDICAMENTEUSES

Voir banque Interactions Médicamenteuses

GROSSESSE ET ALLAITEMENT

 Grossesse :

La présence d'un inhibiteur de l'enzyme de conversion conditionne la contre-indication à l'utilisation de cette association pendant la grossesse.
--- Liée au lisinopril :
Les études réalisées chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène mais une foetotoxicité sur plusieurs espèces.
En clinique :
- il n'y a pas d'étude épidémiologique disponible ;
- des observations isolées de grossesses exposées au premier trimestre sont à priori rassurantes sur le plan malformatif ;
- l'administration pendant le 2ème et le 3ème trimestres, et notamment si elle se poursuit jusqu'à l'accouchement, expose à un risque d'atteinte rénale pouvant entraîner :
. une diminution de la fonction rénale foetale avec éventuellement oligoamnios,
. une insuffisance rénale néonatale, avec hypotension et hyperkaliémie, voire une anurie (réversible ou non).
- quelques rares cas d'anomalies de la voûte crânienne ont été rapportés avec la prise d'inhibiteurs de l'enzyme de conversion tout au long de la grossesse.
En conséquence, le risque malformatif, s'il existe, est vraisemblablement faible. La découverte fortuite d'une grossesse en cours de traitement ne justifie pas une interruption de celle-ci. Néanmoins, la voûte crânienne sera surveillée par échographie.
En revanche, la découverte d'une grossesse sous inhibiteur de l'enzyme de conversion impose de modifier le traitement, et ce, pendant toute la grossesse.
Au 2ème et au 3ème trimestres, la prescription d'un IEC est contre-indiquée.
--- Liée à l'hydrochlorothiazide :
En règle générale, les diurétiques thiazidiques et apparentés doivent être évités chez la femme enceinte et ne jamais être prescrits au cours des oedèmes physiologiques (et ne nécessitant donc pas de traitement) de la grossesse. Les diurétiques peuvent, en effet, entraîner une ischémie foetoplacentaire, avec un risque d'hypotrophie foetale.
Par ailleurs, dans de rares cas, des thrombocytopénies néonatales sévères ont été rapportées.
Les diurétiques restent néanmoins un élément essentiel du traitement des oedèmes d'origine cardiaque, hépatique et rénale survenant chez la femme enceinte.

 Allaitement :

--- Lié au lisinopril :
Il n'existe pas de données concernant le passage dans le lait maternel.
--- Lié à l'hydrochlorothiazide :
Les thiazidiques sont excrétés en faible quantité dans le lait maternel. Néanmoins, leur utilisation est contre-indiquée en période d'allaitement en raison :
- d'une diminution, voire d'une suppression, de la sécrétion lactée,
- de leurs effets indésirables, notamment biologiques (kaliémie),
- de leur appartenance aux sulfamides avec risques d'allergie et d'ictère nucléaire.
En conséquence, l'utilisation de ce médicament est contre-indiquée au cours de la période d'allaitement.

CONDUITE ET UTILISATION DE MACHINES

Les patients amenés à conduire des véhicules ou à utiliser des machines doivent être attentifs à la survenue possible de vertiges.

EFFETS INDESIRABLES

  • Céphalée
  • Asthénie
  • Sensation de vertige
  • Hypotension artérielle
  • Hypotension orthostatique
  • Nausée
  • Diarrhée
  • Palpitation
  • Douleur thoracique
  • Impuissance
  • Toux
  • Oedème de Quincke (Exceptionnel)
  • Angioedème intestinal (Très rare)
  • Douleur abdominale (Rare)
  • Vomissement (Rare)
  • Ictère (Rare)
  • Hépatite cytolytique (Rare)
  • Hépatite cholestatique (Rare)
  • Pancréatite
  • Dysgueusie (Rare)
  • Confusion mentale (Rare)
  • Dépression (Rare)
  • Bronchospasme (Rare)
  • Alopécie (Rare)
  • Prurit (Rare)
  • Urticaire (Rare)
  • Psoriasis (Rare)
  • Pemphigus (Rare)
  • Syndrome de Stevens-Johnson (Rare)
  • Erythème polymorphe (Rare)
  • Oligurie (Rare)
  • Anurie (Rare)
  • Insuffisance rénale aiguë (Rare)
  • Fièvre
  • Vascularite
  • Douleur musculaire
  • Douleur articulaire
  • Anticorps antinucléaire (augmentation)
  • Vitesse de sédimentation (augmentation)
  • Eosinophilie
  • Leucocytose
  • Eruption cutanée
  • Photosensibilisation
  • Dermatose
  • Urémie (augmentation)
    Insuffisance rénale, Stenose arterielle renale, Traitement diuretique.
  • Créatininémie (augmentation)
    Insuffisance rénale, Stenose arterielle renale, Traitement diuretique.
  • Protéinurie
    Glomerulonephrite.
  • Hyperkaliémie
  • Enzymes hépatiques (augmentation)
  • Hyperbilirubinémie
  • Anémie
    Hemodialyse, Transplanté rénal.
  • Anémie hémolytique
  • Insuffisance médullaire
  • Thrombopénie
  • Neutropénie
  • Agranulocytose
  • Encéphalopathie hépatique
    Insuffisance hepatique.
  • Hypersensibilité
    Asthmatique, Terrain allergique.
  • Eruption maculopapuleuse
  • Purpura
  • Lupus érythémateux aigu disséminé (aggravation)
  • Constipation (Rare)
  • Paresthésie (Rare)
  • Hypokaliémie
    Diurese intensive.
  • Hyponatrémie
  • Hypovolémie
  • Déshydratation
  • Alcalose métabolique
  • Hyperuricémie
  • Hyperglycémie
  • Leucopénie
  • Aplasie médullaire
  • Hypercalcémie (Exceptionnel)

PHARMACODYNAMIE

  • Classement ATC : 
        C09BA03 / LISINOPRIL ET DIURETIQUES
  • Classement Vidal : 
        Inhibiteur de l'enzyme de conversion + diurétique thiazidique : lisinopril + hydrochlorothiazide

PRESENTATIONS

Liste I
  • CIP : 3745232 (LISINOPRIL/HYDROCHLOROTHIAZIDE ACTAVIS 20 mg/12,5 mg cp séc : Plq/28).
    Disponibilité : officines
    Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités
  • CIP : 3873125 (LISINOPRIL/HYDROCHLOROTHIAZIDE ACTAVIS 20 mg/12,5 mg cp séc : Plq/84).
    Disponibilité : officines
    Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités


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