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PAMIDRONATE DE SODIUM RATIOPHARM 3mg/ml sol diluer p perf

PAMIDRONATE DE SODIUM RATIOPHARM 3mg/ml sol diluer p perf





FORME


solution à diluer pour perfusion

COMPOSITION

par 1 ml
acide pamidronique sel disodique3 mg
  Soit acide pamidronique2,527 mg
Excipients : sodium hydroxyde (pour l'ajustement du pH 7- 8), acide chlorhydrique qs pH 7-8, sodium, eau ppi.

INDICATIONS

Traitement des états liés à une augmentation de l'activité ostéoclastique :
- Hypercalcémie d'origine maligne.
- Lésions ostéolytiques chez les patients présentant des métastases osseuses associées à un cancer du sein, en complément du traitement spécifique de la tumeur.
- Myélome multiple de stade III avec lésions ostéolytiques.


POSOLOGIE et MODE D'ADMINISTRATION

A utiliser exclusivement par voie intraveineuse. Ne jamais administrer pamidronate de sodium en injection en bolus. Il faut diluer la solution avant l'emploi (voir ci-dessous) et perfuser lentement la solution ainsi obtenue (voir aussi Mises en garde et précautions d'emploi).
Pour les informations concernant la compatibilité avec les solutions pour perfusion, voir "Instructions pour l'utilisation et la manipulation" ci-dessous.
Le débit de la perfusion ne doit pas dépasser 60 mg/heure (1 mg/min) et la concentration de Pamidronate de sodium dans la solution à perfuser ne doit pas dépasser 90 mg dans 250 ml. En cas d'insuffisance rénale confirmée ou suspectée (par exemple patients atteints d'hypercalcémie maligne ou de myélome multiple), il est déconseillé d'utiliser un débit dépassant 20 mg/heure (voir aussi plus loin, "Insuffisance rénale"). Une dose de 90 mg dans 250 ml de solution pour perfusion doit généralement être administrée en 2 heures. Pour atténuer les réactions locales au site de perfusion, il faut insérer soigneusement la canule dans une veine relativement grosse.
Le pamidronate de sodium doit être administré sous la surveillance d'un médecin disposant de tout le matériel nécessaire pour contrôler les effets cliniques et biochimiques.Utiliser seulement des solutions diluées limpides et préparées extemporanément.
Utilisation chez l'enfant et l'adolescent (<18 ans)
Les données cliniques sont insuffisantes pour justifier de l'utilisation du pamidronate chez les enfants et adolescents (<18 ans).
Hypercalcémie d'origine tumorale :
Avant et pendant le traitement, il est recommandé de réhydrater les patients avec une solution de chlorure de sodium à 0,9% m/v.
La dose totale de pamidronate de sodium à utiliser pour un cycle de traitement dépend de la calcémie initiale du patient. Les directives ci-dessous ont été établies à partir des valeurs non corrigées de la calcémie. Cependant, les intervalles de doses indiquées s'appliquent aussi aux calcémies corrigées en fonction de la protéinémie ou de l'albuminémie chez les patients réhydratés (voir aussi Mises en garde et précautions d'emploi).
 Calcémie   initiale   Concentration de la
solution pour perfusion 
 Débit maximum
de perfusion 
 Dose totale
recommandé en
pamidronate 
 en mmol/l   en mg/100 ml   en mg/ml   en mg/h   en mg 
 < 3,0   < 12,0   0,24 (30/125)   20   15 - 30 
 3,0 - 3,5   12,0 - 14,0   0,24 (30/125 ou 60/250)   20   30 - 60 
 3,5 - 4   14,0 - 16,0   0,24 - 0,18 (60/250 ou 90/500)   20   60 - 90 
 > 4,0   > 16,0   0,18 (90/500)   20   90 
La dose totale de pamidronate de sodium peut soit être administrée en une seule perfusion, soit être fractionnée en plusieurs perfusions, réparties sur 2 à 4 jours consécutifs. La dose maximale par cure est de 90 mg, pour la première cure comme pour les suivantes. Des doses plus élevées n'ont pas amélioré la réponse clinique.
La calcémie diminue généralement de façon significative 24-48 heures après l'administration de pamidronate de sodium et se normalise habituellement en l'espace de 3 à 7 jours. Si la calcémie ne se normalise pas dans ce délai, on peut administrer une dose supplémentaire. La durée de la réponse varie d'un patient à l'autre et le traitement peut être renouvelé chaque fois que l'hypercalcémie réapparaît. D'après l'expérience clinique acquise à ce jour, le pamidronate de sodium peut perdre de son efficacité avec l'accroissement du nombre de cures.
Lésions ostéolytiques du myélome multiple :
La dose recommandée est de 90 mg toutes les 4 semaines.
 Indication   Schéma thérapeutique   Solution pour
perfusion (mg/ml) 
 Débit de perfusion
(mg/h) 
 Myélome multiple   90 mg/4 h toutes
les 4 semaines 
 0,18 (90/500)   22,5 
Lésions ostéolytiques des métastases osseuses associées à un cancer du sein :
La dose recommandée est de 90 mg toutes les 4 semaines. Si on le souhaite, on peut aussi administrer cette dose à des intervalles de 3 semaines, pour la faire coïncider avec la chimiothérapie.
Il faut poursuivre le traitement jusqu'à la survenue d'une grave détérioration de l'état général du patient.
 Indication   Schéma thérapeutique   Solution pour
perfusion (mg/ml) 
 Débit de perfusion
(mg/h) 
 Métastases osseuses   90 mg/2 h toutes
les 4 semaines 
 0,36 (90/250)   45 
Insuffisance rénale :
Le pamidronate de sodium ne doit pas être administré chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine < 30 ml/min) sauf en cas d'hypercalcémie d'origine maligne mettant en jeu le pronostic vital où le bénéfice dépasse le risque potentiel (voir Mises en garde et précautions d'emploi et Propriétés pharmacocinétiques).
L'ajustement des doses n'est pas nécessaire en cas d'insuffisance rénale légère (clairance de la créatinine entre 61 et 90 ml/min) ou modérée (clairance de la créatinine entre 30 et 60 ml/min). Chez ces patients, le débit de la perfusion ne devra pas excéder 90 mg/4h (approximativement 20 à 22 mg/h).
Comme avec les autres biphosphonates intraveineux, une surveillance de la fonction rénale est recommandée, par exemple en mesurant la créatinine sérique avant chaque dose de pamidronate de sodium. Chez les patients recevant du pamidronate de sodium pour des métastases osseuses qui présentent une détérioration évidente de la fonction rénale, le traitement par le pamidronate de sodium devra être suspendu jusqu'à ce que la fonction rénale revienne à moins de 10% de différence de la valeur de départ.
Insuffisance hépatique :
Il n'existe pas de données publiées concernant l'emploi du pamidronate de sodium en cas d'insuffisance hépatique sévère. Par conséquent, aucune recommandation particulière n'est donnée pour son utilisation chez ces patients (voir Propriétés pharmacocinétiques). Aucun ajustement des doses n'est nécessaire chez les patients ayant une insuffisance hépatique modérée à légère.Mode d'administration
Ce médicament contient moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par dose maximale (90 mg), c'est-à-dire qu'il est essentiellement " sans sodium ".Instructions pour l'utilisation, la manipulation et l'élimination
Il faut diluer le produit avec une solution de glucose à 5 % (50 mg/ml) ou une solution de chlorure de sodium à 0,9 % (9 mg/ml) avant l'administration.
La concentration de pamidronate de sodium dans la solution à perfuser ne doit pas dépasser 90 mg/250 ml.
Pamidronate de sodium 3 mg/ml, solution à diluer pour perfusion, est destiné à un usage unique.
Il faut inspecter la solution pour perfusion avant l'emploi et ne l'utiliser que si elle est limpide et pratiquement dénuée de particules.
Tout reste de solution inutilisée doit être jeté.

CONTRE-INDICATIONS

Absolue(s) :
  • Hypersensibilité à l'un des composants
  • Hypersensibilité aux diphosphonates
  • Enfant de moins de 15 ans
  • Allaitement

MISES EN GARDE et PRECAUTIONS D'EMPLOI

  • Ne pas administrer en bolus
    Pamidronate de sodium solution à diluer pour perfusion ne doit jamais être administré en injection en bolus, car cela risquerait de provoquer des réactions locales sévères et une thrombophlébite. Il faut diluer la solution avant l'emploi et perfuser lentement la solution ainsi obtenue (voir Posologie et mode d'administration).
  • Administrer par perfusion IV lente
  • Risque de convulsions
    Chez quelques patients souffrant d'hypercalcémie d'origine tumorale, on a signalé des convulsions dues aux anomalies électrolytiques liées à cette maladie et à son traitement efficace.
  • Surveillance de l'ionogramme plasmatique pendant le traitement
    Après l'instauration du traitement par le pamidronate de sodium, surveiller les électrolytes.
    La balance des fluides (urine émise, poids journalier) doit également être surveillée de près.
  • Surveillance de la calcémie pendant le traitement
    Après l'instauration du traitement par le pamidronate de sodium, surveiller la calcémie.
  • Surveillance de la phosphatémie pendant le traitement
    Après l'instauration du traitement par le pamidronate de sodium, surveiller la phosphatémie.
  • Perturbation hématologique
    Les patients présentant une anémie, une leucopénie ou une thrombocytopénie doivent faire l'objet d'une surveillance hématologique régulière.
  • Intervention chirurgicale thyroïdienne, antécédent
    Les patients ayant subi une chirurgie thyroïdienne sont susceptibles de développer une hypocalcémie due à un hypoparathyroïdisme relatif.
  • Insuffisance rénale sévère
    Bien que le pamidronate de sodium soit excrété inchangé par les reins, le médicament a été utilisé sans augmentation apparente des effets indésirables chez des patients présentant des taux élevés de créatininémie (incluant des patients en attente de greffe rénale, sous hémodialyse et dialyse péritonéale simultanées).
    Quoi qu'il en soit, l'expérience du pamidronate de sodium chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère (créatininémie > 440 µmol/l, ou 5 mg/dl chez les patients atteints d'hypercalcémie d'origine maligne ; 180 µmol/l, ou 2 mg/dl chez les patients atteints de myélome multiple) est limitée. Si les données cliniques déterminent que le bénéfice potentiel est supérieur au risque, dans de tels cas, le pamidronate de sodium peut être utilisé avec précaution sous surveillance stricte de la fonction rénale.
  • Patient en hémodialyse
    L'expérience de l'utilisation du pamidronate de sodium chez les patients hémodialysés est très restreinte.
  • Insuffisance hépatique sévère
    Aucune recommandation particulière ne peut être donnée pour les patients souffrant d'insuffisance hépatique sévère dans la mesure où aucune donnée clinique n'est disponible.
  • Insuffisance rénale
    Les patients doivent subir des contrôles biologiques périodiques standards (créatininémie et uricémie) et une évaluation clinique périodique des paramètres de la fonction rénale, particulièrement pour ceux recevant des perfusions de pamidronate de sodium fréquemment ou pendant une durée prolongée, et chez ceux présentant une insuffisance rénale pré-existante ou une prédisposition à une altération rénale (par exemple les patients atteints d'un myélome malin ou d'une hypercalcémie d'origine maligne). Si la fonction rénale est altérée pendant le traitement par le pamidronate, la perfusion doit être arrêtée.
    Une détérioration de la fonction rénale (incluant l'insuffisance rénale) a été rapportée après un traitement prolongé par le pamidronate de sodium chez des patients atteints de myélome multiple.
    Toutefois la progression d'une maladie sous-jacente et/ou les complications associées étaient aussi présentes et par conséquent l'implication directe du pamidronate de sodium n'est pas prouvée.
  • Assurer une hydratation correcte pendant le traitement
    Lors du traitement initial de l'hypercalcémie d'origine tumorale, il est essentiel d'instaurer une réhydratation intraveineuse afin de rétablir la diurèse. Il faut correctement hydrater les patients pendant tout le traitement, mais en évitant une hyperhydratation.
  • Cardiopathie
    En cas de cardiopathie, en particulier chez les patients âgés, une surcharge sodée supplémentaire peut déclencher une insuffisance cardiaque (insuffisance cardiaque congestive). La fièvre (symptômes de type grippal) peut également favoriser l'apparition d'une insuffisance cardiaque.
  • Fièvre
    La fièvre (symptômes de type grippal) peut également favoriser l'apparition d'une insuffisance cardiaque.
  • Sujet de moins de 18 ans
    Ni la sécurité d'emploi, ni l'efficacité du pamidronate de sodium n'ont été établies chez les enfants et adolescents (<18 ans) (voir Posologie et mode d'emploi).
  • Risque d'ostéonécrose de la mâchoire
    Une ostéonécrose de la mâchoire, généralement associée à une extraction dentaire et/ou une infection locale (y compris l'ostéomyélite) a été rapportée chez des patients cancéreux recevant des protocoles thérapeutiques incluant des bisphosphonates principalement administrés par voie intraveineuse. La plupart de ces patients recevaient également une chimiothérapie et des corticoïdes. L'ostéonécrose de la mâchoire a également été signalée chez des patients souffrant d'ostéoporose et recevant des bisphosphonates oraux.
    Avant instauration d'un traitement par les bisphosphonates, il faut envisager un examen dentaire avec des mesures préventives adaptées chez les patients qui présentent des facteurs de risque associés (par exemple cancer, chimiothérapie, corticothérapie, mauvaise hygiène buccale).
    Pendant le traitement, ces patients doivent éviter autant que possible les interventions dentaires invasives. Pour les patients qui développent une ostéonécrose de la mâchoire alors qu'ils sont sous traitement par bisphosphonates, les interventions chirurgicales dentaires risquent d'aggraver la situation. Pour les patients nécessitant une intervention dentaire, il n'y a pas de donnée disponible suggérant que l'arrêt du traitement par bisphosphonates diminuerait le risque d'ostéonécrose de la mâchoire.
    L'appréciation clinique du médecin traitant devrait orienter la prise en charge de chaque patient en se basant sur l'évaluation individuelle du rapport bénéfice/risque.
  • Compatibilité avec certains solvants
    Il faut diluer le produit avec une solution de glucose à 5 % (50 mg/ml) ou une solution de chlorure de sodium à 0,9 % (9 mg/ml) avant l'administration.
  • Incompatibilité avec certains produits chimiques ou biologiques
    Le pamidronate forme des complexes avec les cations divalents et ne doit pas être mélangé aux solutions intraveineuses contenant du calcium.
  • Incompatibilité avec certains médicaments
    Le pamidronate forme des complexes avec les cations divalents et ne doit pas être mélangé aux solutions intraveineuses contenant du calcium.
  • Traitement compatible avec un régime hyposodé
    Ce médicament contient moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par dose maximale (90 mg), c'est-à-dire qu'il est essentiellement " sans sodium ".

IAM : INTERACTIONS MEDICAMENTEUSES

Voir banque Interactions Médicamenteuses

GROSSESSE ET ALLAITEMENT

 Grossesse :

Il n'existe pas de données pertinentes sur l'utilisation du pamidronate de sodium chez la femme enceinte. Les études effectuées chez l'animal ont montré une toxicité reproductive (voir Données de sécurité précliniques). Le risque potentiel pour la femme enceinte est inconnu. Le pamidronate peut induire un risque pour le fœtus et le nouveau-né en raison de son action pharmacologique sur l'homéostasie calcique. En conséquence, l'utilisation du pamidronate de sodium est déconseillée pendant la grossesse, sauf en cas de traitement d'urgence des hypercalcémies.

 Allaitement :

L'excrétion du pamidronate de sodium dans le lait maternel est inconnue. Des études chez l'animal ont montré une excrétion du pamidronate de sodium dans le lait, et un risque pour le nouveau né allaité ne peut être exclu.
En conséquence, l'utilisation du pamidronate de sodium pendant l'allaitement est contre-indiqué (voir Contre-indications).

CONDUITE ET UTILISATION DE MACHINES

Le pamidronate de sodium exerce une influence faible à modérée sur la capacité à conduire et à utiliser des machines. Les patients doivent être avertis des rares risques de somnolence ou de vertiges qui peuvent survenir après la perfusion de pamidronate de sodium. Et dans ces cas, ils ne doivent ni conduire ni utiliser des machines potentiellement dangereuses ou exercer des activités qui peuvent devenir dangereuses en raison d'une baisse de la vigilance.

EFFETS INDESIRABLES

  • Fièvre
  • Syndrome pseudogrippal
  • Lymphopénie (Fréquent)
  • Anémie (Peu fréquent)
  • Leucopénie (Peu fréquent)
  • Thrombopénie (Très rare)
  • Hypersensibilité (Rare)
  • Réaction anaphylactique (Peu fréquent)
  • Bronchospasme (Peu fréquent)
  • Dyspnée (Peu fréquent)
  • Oedème de Quincke (Peu fréquent)
  • Choc anaphylactique (Très rare)
  • Herpès (réveil) (Très rare)
  • Zona (réactivation)
  • Hypocalcémie (Peu fréquent)
  • Hypophosphatémie (Très fréquent)
  • Hypomagnésémie (Fréquent)
  • Hyperkaliémie (Peu fréquent)
  • Hypokaliémie (Peu fréquent)
  • Hypernatrémie (Peu fréquent)
  • Céphalée (Fréquent)
  • Paresthésie (Peu fréquent)
  • Tétanie (Peu fréquent)
  • Agitation (Peu fréquent)
  • Confusion mentale (Peu fréquent)
  • Sensation de vertige (Peu fréquent)
  • Insomnie (Peu fréquent)
  • Somnolence (Peu fréquent)
  • Léthargie (Peu fréquent)
  • Convulsions (Très rare)
  • Hallucination visuelle (Très rare)
  • Uvéite (Rare)
  • Iritis (Rare)
  • Iridocyclite (Rare)
  • Sclérite (Rare)
  • Episclérite (Rare)
  • Conjonctivite (Rare)
  • Xanthopsie (Très rare)
  • Inflammation orbitaire (Très rare)
  • Hypotension artérielle (Peu fréquent)
  • Hypertension artérielle (Peu fréquent)
  • Insuffisance ventriculaire gauche (aggravation) (Très rare)
  • Insuffisance cardiaque congestive (aggravation)
  • Oedème pulmonaire (Très rare)
  • Inflation hydrique
  • Nausée (Fréquent)
  • Vomissement (Fréquent)
  • Anorexie (Peu fréquent)
  • Douleur abdominale (Peu fréquent)
  • Diarrhée (Peu fréquent)
  • Constipation (Peu fréquent)
  • Dyspepsie (Peu fréquent)
  • Gastrite (Très rare)
  • Bilan hépatique (anomalie) (Très rare)
  • Eruption cutanée (Peu fréquent)
  • Prurit (Peu fréquent)
  • Douleur osseuse (Fréquent)
  • Douleur articulaire (Fréquent)
  • Douleur musculaire (Fréquent)
  • Douleur (Fréquent)
  • Crampe (Peu fréquent)
  • Ostéonécrose
  • Ostéonécrose de la mâchoire (Très rare)
  • Insuffisance rénale (Rare)
  • Glomérulosclérose segmentale focale
  • Syndrome néphrotique (Rare)
  • Néphropathie tubulaire (Rare)
  • Néphropathie glomérulaire
  • Néphropathie tubulo-interstitielle aiguë (Rare)
  • Hématurie (Très rare)
  • Insuffisance rénale aiguë (Très rare)
  • Créatininémie (augmentation) (Très rare)
  • Urémie (augmentation) (Très rare)
  • Réaction au point d'injection (Fréquent)
  • Douleur au point d'injection (Fréquent)
  • Erythème au point d'injection (Fréquent)
  • Induration au point d'injection (Fréquent)
  • Phlébite au point d'injection (Fréquent)
  • Thrombophlébite au point d'injection (Fréquent)
  • Eruption cutanée au point d'injection (Fréquent)

PHARMACODYNAMIE

  • Classement ATC : 
        M05BA03 / PAMIDRONIQUE ACIDE
  • Classement Vidal : 
        Inhibiteur de la résorption osseuse : biphosphonate \ Cancérologie (Acide pamidronique)

PRESENTATIONS

Liste I
  • CIP : 3712652 (PAMIDRONATE DE SODIUM RATIOPHARM 3mg/ml sol diluer p perf : 1Fl/5ml).
    Disponibilité : hôpitaux
    Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités
  • CIP : 3712681 (PAMIDRONATE DE SODIUM RATIOPHARM 3mg/ml sol diluer p perf : 1Fl/10ml).
    Disponibilité : officines
    Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités
  • CIP : 3712712 (PAMIDRONATE DE SODIUM RATIOPHARM 3mg/ml sol diluer p perf : 1Fl/20ml).
    Disponibilité : officines
    Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités
  • CIP : 3712741 (PAMIDRONATE DE SODIUM RATIOPHARM 3mg/ml sol diluer p perf : 1Fl/30ml).
    Disponibilité : hôpitaux
    Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités


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